Missive pour Azildas Catanoss, maître cordonnier

Très cher Azildas,

J'ai eu l'occasion de m'entretenir avec Sir Forgeroc sur divers sujets.

Concernant notre association, je préfère en parler de vive voix au cas où cette missive s'égare. Sachez juste que je n'ai pas pu obtenir tout ce que nous voulions, mais que j'ai accepté le poste de gestionnaire de budget. Ceci devrait, tout de même, nous permettre d'aller dans le sens que nous souhaitons, nous et nos partenaires.

Bonne nouvelle aussi, nous avons les clés de la boutique et Owain a déjà pris quelques mesures pour l'aménagement.

Le château a commandé divers produits auprès d'Owain et de Ducim, ce qui est bon pour nos affaires à tous. J'ai moi même besoin de vos talents afin de me procurer deux tenues de ville plus présentables que mes fripes de voyages.

Avec l'espérance de vous revoir rapidement - pour le plaisir, ma commande et la clé de la boutique - je vous salue amicalement.

Violine

Fatiguée de sa séance d'écriture, Violine souriait toujours en rédigeant cette missive. Le projet d'association avec ses trois partenaires allait dans le bon sens et "Le comptoir de Linbourg" pourrait bientôt ouvrir ses portes. Elle attendait avec impatience de pouvoir s'habiller correctement grâce aux talents de son ami cordonnier.

Cher Azildas,

Je vous laisse cette seconde missive pour votre retour. J'espère que vos affaires se passent bien et que vous serez bientôt de retour en ville.

Tout d'abord, j'ai appris que vous n'étiez pas encore inscrit au Cercle des artisans de Linbourg. Je ne vous en fait pas le reproche, mais n'hésitez pas à contacter Sir Forgeroc par l'intermédiaire de Demoiselle Miriam Finnigan (je pense) dès votre retour. Notre association y gagnera à être bien insérée dans ce cercle officiel.

Pour vos affaires, sachez que deux personnes souhaitent vous passer des commandes. Il s'agit du garde Ruby (à vérifier car il semblait hésitant), ainsi que de monsieur Kakuzo. Pour ce dernier, n'oubliez pas d'indexer vos prix comme pour tous les non-citoyens afin de respecter la volonté du château.

En espérant vous revoir très vite, je vous salue amicalement.

Violine