A vous monsieur Malvois,
Je suis navrée d'avoir quitté ainsi votre cité et avoir contourné la garde quand la relève est arrivée mais j'ai ressentis la présence des dragons en vos murs.
Au départ ce n'était que léger puis cela s'est amplifié, je pense qu'il ne sont pas tous là mais plusieurs, c'est certain.
Je reste à l'écart des vôtres par sécurité mais aussi pour ne pas générer une panique générale.
Mon enfant grandit relativement vite et le maintenir sous forme humaine de façon constante me fatigue énormément.
La nature me permet de le laisser être à l'aise et ne pas rejeter sa forme primale.
Je vous laisse ma fouine voyageuse, elle saura me trouver et être discrète si vous aviez besoin de me contacter pour une raison ou une autre.
Ludvine.