Violine laissa la missive à Herbert et Patricia, les taverniers, leur demandant de bien vouloir ne la livrer qu'à la Demoiselle en question, si par hasard elle passait par ici...
Chère Miriam,
Je prend la plume afin de vous remercier. Vous remercier pour votre rencontre qui nous a charmée. Vous remercier également pour votre simplicité à l'égard de nouveaux citoyens de Linbourg, ainsi que pour vos marques d'amitié.
Cette soirée passée sur le toit de l'auberge avec Félicie, Augustin et Edwin fut fort sympathique.
J'espère que ce genre d'occasion nous rassemblera à nouveau.
Je n'ose pas imaginer combien la vie au château doit parfois être contraignante. Ainsi, si, dans votre solitude, vous souhaitez un peu de compagnie, je serai enchantée de vous rendre ce service. Il me tarde de pouvoir bavarder avec vous en toute complicité et d'apprendre à mieux vous connaître, en compagnie d'autres compagnons ou seule à seule si le coeur vous en dit.
Avec l'assurance de mon plus grand respect et tout le soutien que je puis vous apporter, je vous salue bien cordialement.
Violine