Tout les matin depuis que le siege de Palline avait débuter le meme homme se levait chaque matin et prenait pour direction Palline. Il s'arretait toujours a bonne distance de la ville, distance qui lui permetait d'etre entendu quand il criait et qui le metait hors de porté des archer.
-Gens de Palline rendez-vous. A quoi bon résister votre ville va tomber. Désirez-vous si ardament la mort? Tout se que nous voulons c'est la tete de celui qui dirige votre ville et qu'un émissaire sorte signée votre rédition. Si vous persisté a combattre vous périrez jusqu'au dernier mais avant nous vous laisseront souffrir des avres de la faim car oui il viendra un temps ou vous commencerez a manquer de vivre et ou la faim deviendra la pire des torture. Quand vous serez affaiblie par la faim et par le manque d'eau potable c'est a cette instant que nous frapperons. Nous allons envahir votre ville la metre a feu et a sang, violer vos femme et les réduire a l'esclavage et tout ceci en vous forçant a regarder. Est-ce vraiment se que vous désirez ? Je le redit encore rendez-vous et votre calvere prendra fin maintenant. Ceux qui jeteront les armes et choisiront de se rende auront le choix entre partir pour de nouvelle terre, se rendre et preter allégence a Ouz'Ghur la toute puissante ou bien de périr par l'épée.
Le contenu des messages crié divergeait d'une journée a l'autre mais avait pour but de réduire peu a peu le moral des troupes ennemie. Peut-être certaine personne se rendraient-elles a l'ennemie dans l'espoir d'etre épargner et de pouvoir partir tel que promis. Peut-etre aussi que les messages ne produiraient aucun effet seul le temps pouvait dire se qui allait se produire.